Si nous avons un point commun avec d'autres espèces animales, nos avons aussi la capacité de détruire la planète.
Les jours du monde tel que nous le connaissons sont comptés. Comme les passagers du Titanic, nous fonçons dans la nuit noire en dansant et en riant, avec l’égoïsme et l’arrogance de ceux qui sont convaincus d’être «maîtres d’eux-mêmes comme de l’univers». Et pourtant, les signes annonciateurs du naufrage s’accumulent : dérèglements climatiques en série, pollution omniprésente, extinction exponentielle d’espèces animales et végétales, pillage anarchique des ressources, multiplication des crises sanitaires. Nous nous comportons comme si nous étions seuls au monde et la dernière génération d’hommes à occuper cette Terre : après nous, le déluge…
Le syndrome du Titanic de Nicolas Hulot dénonce toutes ces réalités niés par les hommes.
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